1-Arclib socle d’archivage unifié              

Aujourd’hui les systèmes d’information des entreprises et des administrations sont sous la pression des métiers, organisés en silo. A chaque application métier, sa solution d’archivage. Il faut savoir que les entreprises du CAC40 disposent en moyenne de 30 systèmes d’archivage ou conservation long-terme différents. Derrière chaque silo se cachent, des serveurs dédiés, des bases de données dédiées, du stockage dédié, … sans parler des frais d’administrations de cet ensemble de composants.                

Avec Arclib c’est l’occasion de casser les silos techniques de votre système informatique, en proposant une plateforme technique centralisée, un référentiel unique qui vient recueillir l’ensemble des archives numériques des applications métiers. A titre d’exemple, Un de nos clients dans le domaine de l’assurance déverse quotidiennement environ 300 applications comptables sur notre plateforme technique. Cette approche unifiée de l’archivage va faire économiser à votre organisation des ressources techniques (Serveurs, stockage, réseau, …) mais également en temps homme d’administration et c’est loin d’être négligeable… sur le long-terme.

2-Contrôle des droits, des rôles et des accès dans Arclib
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‍Garantir la valeur probante de votre stock d’archives électroniques implique un contrôle rigoureux des droits, des rôles et donc des accès lors de leur consultation. Pour répondre à cette obligation d’authentification, Arclib, notre plateforme d’archivage unifiée est interfacée avec les annuaires LDAP les plus courants du marché afin qu’à chaque consultation on puisse sans erreur identifier : qui est la personne qui consulte? est-elle en droit de faire cette consultation ? et quelles modifications ont éventuellement été portées à l’archive ? l’ensemble de ces actions et informations est enregistré dans les journaux d’Arclib sous forme de logs et présentable comme élément de preuve sous forme de document synthétique lors d’une procédure juridique au juge ou à l’expert mandaté par le juge. Tout est tracé dans Arclib.

3-Une plateforme technique unifiée sans limites techniques
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‍Avec la transition numérique massive engagée par les entreprises et les administrations depuis une dizaine d’année, les stock d’archives numériques ne cessent de croitre et les usages ne cessent d’évoluer dans le temps. Il y a une décennie le SAE était vu comme un frigo, comme un service ou les entreprises injectaient leur documents électroniques engageants en priant pour n’avoir jamais à les rappeler. Aujourd’hui avec la dématérialisation des transactions, des contrats, les envois de factures par e-mail et l’utilisation des signatures électroniques, le système d’archivage à l’égal de la GED est devenu un lieu de la consultations intensives, jusqu’à 1,5 millions par jour et plus chez certains de nos clients des telcos et de l’énergie . Arclib relève ce défi grâce à une architecture modulaire unique. Chaque fonction peut être répartie sur 1, 2 ou 10 moteurs (serveurs) fonction de l’intensité demandée. Selon vos besoins, 2 moteurs peuvent être mobilisés pour l’injection et 10 pour la consultation, ou l’inverse si il le faut. Du coté de la taille des objets électroniques injectés même flexibilité, Arclib est capable d’ingérer des millions de petits fichiers de quelques Mo comme de gros fichiers de plusieurs téraoctets. Pas de limite de taille d’objet avec Arclib.

4-Un service d’archivage centralise, unifie mais…ouvert.

‍Une plateforme unifiée et centralisée d’archivage ne doit pas être synonyme d’enfermement technique pour nos clients. Dans sa stratégie de développement , Arclib a fait le choix d’utiliser un maximum de composants ouverts du marché. Tous les composants techniques d’Arclib sont interchangeables sans affecter la valeur probante ou l’intégrité du stock d’archives numériques : les serveurs, les OS, les annuaires LDAP, le stockage,…. Etc. Quand on sait que le stockage est changé tous les 3 ans, les serveurs tous les 5 ans, les OS tous les 15 ans, cette stratégie technique protège nos clients des impasses technologiques amenant au Customer locking cher aux éditeurs US d’ECM.